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Héritage de nos missionnaires

 
 

Les Jésuites

C’est en 1651 que le Père Jean DE QUEN, missionnaire à Tadoussac, accepte l’invitation des Amérindiens de venir les visiter à Sept-Îles. Il s’y rend et fonde la mission de l’Ange-Gardien, quelque part dans la baie. Il y célèbre une première messe.

De grandes fêtes septiliennes ont marqué, en 1951, le tricentenaire de cette première messe sur nos bords.

D’autres missionnaires Jésuites succèdent au Père DE QUEN, essayant de continuer son œuvre. En 1673, c’est le Père Louis NICOLAS qui vient de Québec, découvrir les possibilités d’établir une mission stable à Sept-Îles. Le Père DE CRESPIEUL, lui, se dirige vers la rivière Moisie et y fonde la mission de Saint-Vital, en 1688. Au siècle suivant, le Père Pierre LAURE organise des tournées missionnaires et fait de nombreuses visites à Sept-Îles, à partir de 1730.

Le Père Jean-Baptiste MAURICE se rend à Sept-Îles, en 1743, à bord du bateau le « Saint-François ». Au printemps, il fait construire une petite chapelle par Joseph PHILIBERT et Michel DRAPEAU. Elle sera détruite par le feu, en 1746.

Suite à cette pénurie de missionnaire, le Père Jean-Baptiste DE LA BROSSE est le dernier Jésuite à venir travailler du Saguenay. Sa mission englobe plus de quarante postes, dont celui de Sept-Îles. Il y ouvre une école, en 1777, pour enseigner aux enfants la lecture et le catéchisme.

Après le départ des Jésuites, c’est le curé de Rimouski, le Père François LECOURTOIS, Eudiste, qui est chargé de la région de Gaspé et des « postes de Roi » sur la Côte-Nord

 

Les Oblats

Les Pères Oblats furent les successeurs des missionnaires Jésuites, premiers apôtres des Montagnais. L’année 1841 marque l’arrivée au Canada de la Congrégation des « Missionnaires Oblats de la Très Sainte et Immaculée Vierge Marie ».

Des 1845, le Père Pierre Fiset est le premier Oblat à venir à Sept-Îles pour y rencontrer 22 familles amérindiennes comptant 56 adultes et 68 enfants.

Comme il est fait mention aux onglets précédents, ce sont les Pères Flavien et Eusèbe DUROCHER qui firent construire la première chapelle amérindienne, en 1848.

En 1850, Les Pères Oblats furent chargés par l’Autorité ecclésiastique toutes les missions amérindiennes de la Côte-Nord, de Tadoussac au Labrador.

Parmi ces vaillants missionnaires qui ont sillonné notre région, à la fin du siècle dernier et au début du nôtre, deux noms restent bien gravés dans la mémoire de tous les Anciens : Le Père Charles ARNAUD et le Père Louis BABEL. Pendant 60 ans, le « Roi de Betsiamits » (Charles ARNAUD) et le « méditatif » Louis BABEL déployèrent un dévouement quotidien et un zèle infatigable à servir spirituellement les Montagnais, ainsi que les premiers Blancs arrivés à Sept-Îles.

Plus près de nous, en 1958, les Oblats de Marie-Immaculée vinrent fonder la paroisse Marie-Immaculée. Ils acceptèrent également en 1960 que le Rév. Père Raymond PAINCHAUD o.m.i. soit nommé à titre de curé de la paroisse anglophone Christ The King. Plusieurs se souviendront du Père Raymond PAINCHAUD, curé de cette paroisse pendant 30 ans.

La devise des Oblats est : « Il m’a envoyé évangéliser les pauvres ».



Père Charles Arnaud, o.m.i.

Père Louis Babel, o.m.i.

Les Eudistes

À la fin du mois d’août 1903, les premiers Eudistes arrivent au Québec à bord du bateau « King Edward » et débarquent à Rimouski. Ils sont une douzaine qui traverse sur la Côte-Nord, sous la direction du Père Gustave BLANCHE, leur Supérieur.

Nommé Préfet apostolique, il deviendra, deux ans plus tard, Vicaire apostolique et occupera le premier siège épiscopal de la Côte-Nord, à Sept-Îles.

Ancien militaire, fervent de l’ordre et de la discipline, le Père BLANCHE, en arrivant, distribue ses missionnaires, deux par deux, aux points stratégiques de cet immense territoire.

Les Pères Auguste BRÉZEL et Louis GARNIER à Manicouagan (Hauterive) ;
Louis NONORGUE et Joseph LAIZÉ à Pentecôte ;
Pierre BROCHARD et Jean-Marie CONAN, à Sept-Îles ;
François HESRY et Louis HERY, à Rivière-au-Tonnerre ;
Joseph et Étienne GALLIX, à Magpie ;
Ferdinand POTTIER et Joseph ROBIN, à Pointe-aux-Esquimaux ;
Isidore PIHAN et Arthur DIVET à Natashquan.

Au retour de son sacre comme Vicaire apostolique, en la cathédrale de Chicoutimi, le 28 octobre 1905, Mgr BLANCHE s’établit en premier à la Pointe-aux-Esquimaux (Havre-Saint-Pierre).

Il demeura à cet endroit moins d’un an, juste le temps d’étudier la situation sur place. Il décida ensuite de transporter sa résidence à Sept-Îles, considérant que cet endroit est plus central et plus accessible pour y construire un petit collège, un juvénat, un convent. Il voyagea sur le « King Edward » en novembre 1906.

Arrivé dans une modeste chapelle et un nouveau presbytère fort restreint et non meublé, il les remplacera, en 1908, par la Cathédrale et l’Évêché. Deux Pères exerçaient déjà le ministère depuis 1903, les Pères Jean-Marie CONAN, curé, et son compagnon, le Père Pierre BROCHARD.

À la suite de Mgr BLANCHE et sous ses sages directives, les premiers missionnaires, tout en remplissant avec zèle leur ministère paroissial, ne négligent pas de s’occuper de l’instruction des enfants en faisant ouvrir des écoles, partout où ils peuvent. Mgr BLANCHE les y exhorte fortement.

En 1902, des cours du soir pour adultes sont envisagés. Plusieurs missionnaires ont manifesté leur intention de donner, le soir, un cours public aux jeunes gens et aux hommes qui désireraient apprendre à lire et à écrire.

Une double épreuve affligea les Pères Eudistes de la Côte, spécialement ceux de Sept-Îles. En juillet 1916, en juillet, Mgr BLANCHE décède subitement, en France, lors d’une réunion de sa Communauté. Puis, quelques jours avant Noël, un incendie détruit complètement la Cathédrale et l’Évêché, ainsi qu’une maison avoisinante.

Les Pères reprirent quand même, courageusement, le travail paroissial et le poursuivirent pendant quarante ans.

L’on voit que, pendant cinquante ans, les Pères Eudiste ont exercé leur ministère avec zèle et dévouement dans tous les milieux de notre vaste région nord-côtière, y compris le secteur septilien.

À Sept-Îles, en plus de Mgr Gustave BLANCHE, qui fut la figure de proue de cette généreuse et longue suite de missionnaires, on peut dire que trois figures de curés ressortent davantage et ont laissé un souvenir ineffaçable chez les Septiliens âgés d’aujourd’hui. Ce sont les Pères Arthur DIVET, Étienne RÉGNAULT et Denis DOUCET.

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PAROISSE ST-JOSEPH 100 ANS (1892-1992)
Auteur : GUSTAVE GAUVREAU


Mgr. Gustave Blanche


Père Arthur Divet


Père Étienne Régnault


Père Denis Doucet

Nos premiers missionnaires

Le Premier Missionnaire
Le Père Jean DE QUEN, s.j.

Le Père Jean DE QUEN naquit à Amiens (France), en mai 1604. Issu de parents honnêtes et distingués, il en reçut une éducation profondément chrétienne et, à l’âge de 17 ans, il entra au noviciat des Jésuites à Rouen, le 3 septembre 1620.

Poursuivant sa formation, il parfait ses études à Paris, puis on le retrouve comme professeur au collège d’Amiens et au collège d’Eu (1630-1635).

Ordonné prêtre, il demande la mission du Canada où il passe à l’été de 1635.

Il demeure plusieurs années à Québec, d’abord au Collège, puis à Notre Dame-de-la-Recouvrance.

Il est ensuite envoyé à Sillery dont il occupe le poste de Supérieur (1641-1649).

C’est pendant cette charge qu’il va fonder la mission de Sainte-Croix, à Tadoussac (1641). Cinq ans après, il y construit une église en pierre de 60 pieds de longueur, la première du genre au Canada. Elle devait être détruite par les Iroquois en 1661.

Le 16 juillet 1647, remontant le cours du Saguenay, il y découvre un grand lac qu’il baptise du nom de son patron (Lac St-Jean).

Quelques années plus tard, en 1651, il descend le fleuve jusqu’aux Sept-Îles, pour y rencontrer les Oumamiois chez qui il revient en 1652 et 1653.

Nommé supérieur des Missions de la Nouvelle-France, en 1665, il se fixe à Québec où il demeure jusqu’à sa mort qui survient le 1er octobre 1659.

Cette mort fut, comme sa vie, un magnifique exemple de charité.

Un vaisseau français amenant à Montréal Mlle MANCE et les premières Religieuses Hospitalières fit escale à Québec.

L’équipage était décimé par une terrible fièvre contagieuse. Le Père DE QUEN n’hésita pas moins à aller saluer les nouveaux venus et à soigner lui-même les malades.

Il y contracta le mal qui l’emporta quelques jours plus tard.

Au mois d’août 1878, lors de la démolition du vieux collège des Jésuites de Québec, on découvrit les ossements du Père DE QUEN.

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LE TRICENTENAIRE DE SEPT-ÎLES – JUILLET 1951

Le Père Étienne RÉGNAULT (1936-1942)

Bien différent de son prédécesseur, le Père RÉGNAULT est un homme doux et affable. Son abord facile et accueillant lui gagne promptement le cœur des enfants, qui sont heureux de le rencontrer à l’école et sur la rue.

Sa piété et son zèle apostolique en font un pasteur de premier ordre. Il est tout attentif à son troupeau qu’il s’efforce de faire paître de la nourriture spirituelle et de protéger contre les loups ravisseurs de l’esprit du monde.

Aussi, son œil brillait et sa parole s’enflammait quand il dénonçait, avec véhémence, un désordre social et familial, comme le commerce des boissons enivrantes, affaire favorisée par l’ancrage occasionnel, au large de la baie, de goélette venue, chargée, de Saint-Pierre-et Miquelon…

De leur Père RÉGNAULT, les paroissiens ont conservé le souvenir d’un saint prêtre, d’un homme de Dieu, dont les prières étaient puissantes auprès du Seigneur et dont la main bénissant, produisait, à ce qu’on dit, des effets merveilleux…

Plusieurs familles septiliennes gardent une « réplique » du bon Père RÉGNAULT ; une photographie, un vieil écrit, quand ce ne serait que le souvenir d’une parole prophétique.

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PAROISSE ST-JOSEPH 100 ANS (1892-1992)
Auteur : GUSTAVE GAUVREAU



Père Étienne Régnault

Le Père Denis DOUCET (1942-1953)

Après plusieurs années d’apostolat missionnaires auprès des Montagnais, dont il parle la langue avec une grande maîtrise, le Père DOUCET est muté chez les Blancs, à l'église Saint-Joseph de Sept-Îles, en 1942.

Pur Acadien du grand Étang (N.E.), le Père Denis DOUCET apporte avec lui les qualités de sa «race» : foi inébranlable, joyeux entrain au travail, ténacité devant l’obstacle, cordiale simplicité ; rien de maniéré et de cérémonieux. Il va droit au but, avec ardeur.

S’apercevant que l’église Saint-Joseph s’emplit souvent à déborder et somme prévoyant le grand développement des années ’50, le Père DOUCET décide d’agrandir l’église. Mais, comment procéder, en respectant ce qu’il y a de fait ? Pour le Père DOUCET, « pas de problème », comme on dit aujourd’hui.

La sacristie fut détachée de l’église, puis reculée. Entre les deux, on construit deux bras, ou ailes, qui constituèrent le transept. Cette transformation donna à toute l’église une forme de croix latine et permit l’ajout d’un grand nombre de bancs.

La prédication du Père DOUCET était simple, directe, sans grandiloquence. Son long contact avec les Amérindiens l’avait amené à parler de façon claire et concrète. Parfois, sa parole s’animait et sa voix s’étreignait jusqu’à l’émotion, quand il avait à déplorer des faits publics qui lui semblaient répréhensibles, comme l’abus de la bière, certaines soirées de danse et l’élection, à Sept-Îles, d’un maire protestant.

Le Père DOUCET n’était pas opposé aux loisirs et aux amusements, bien au contraire. Et c’est pour les favoriser qu’il fit construire une magnifique salle paroissiale, en blocs de ciment. Vaste local, avec scène, propice à toutes les soirées récréatives des paroissiens. On y trouvait, au sous-sol, plusieurs allées de quilles et un coquet restaurant.

Le Père DOUCET fit un accueil chaleureux et fraternel aux prêtres diocésains venus le seconder comme vicaires, aux dernières années de sa cure. C’est sous son administration bienveillante que furent organisées, en 1951, les fêtes du troisième centenaire de la première messe célébrée à Sept-Îles par le Père Jean DE QUEN, missionnaire Jésuite, à l’été de 1651.

Le Père DOUCET quitta Saint-Joseph, en 1953. Son départ marqua la fin d’une époque : celle d’un long et fructueux ministère des Pères Eudistes, à Sept-Îles. Il avait duré cinquante ans.

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PAROISSE ST-JOSEPH 100 ANS (1892-1992)
Auteur : GUSTAVE GAUVREAU



Père Denis Doucet

Les Prêtres DIOCÉSAINS (1953 - …)

Avec l’arrivée de l’abbé Jean-Charles GAMACHE, la paroisse Saint-Joseph est prise en charge par le clergé diocésain.

En arrivant à Saint-Joseph de Sept-Îles, en février 1953, le nouveau curé voit que les constructions de la fabrique, église et presbytère, souffrent et demandent un remplacement. Un nouveau presbytère sera construit en 1954, afin de loger convenablement les prêtres qui travaillent avec lui et ceux de passage, Sept-Îles se trouvant un carrefour des voies aériennes et maritimes. La route n’existait pas.

Sa grande entreprise sera la construction d’une nouvelle église adaptée aux besoins d’une population en pleine croissance. Les travaux commencés en 1958 seront complétés à l’été 1959, de sorte que le premier dimanche d’août on y célèbre la première grand’messe paroissiale.

Monseigneur GAMACHE, titre honorifique reçu pour son travail pastoral, prendra sa retraite en 1965, après douze années de généreux service.

Jusqu’à aujourd’hui, se sont les prêtres diocésains qui se succèdent pour assurer la charge pastorale de la paroisse Saint-Joseph, devenue depuis l’unification de la paroisse Sainte-Famille, en l’an 2000, paroisse L’Ange-Gardien.

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PAROISSE L’ANGE-GARDIEN, René Théberge, curé



Mgr. Jean-Charles Gamache

Une religieuse Amérindienne (Sœur Louisa)

Née le 26 mars 1913, fille d’Alexandre Jourdain et d’Annie McKenzie de Sept-Îles, Louisa Jourdain entrait chez les Sœurs du Bon Pasteur, à leur noviciat de Québec en 1939.

Après sa période de formation, elle recevait une première obédience pour aller se dévouer dans la région de la Gaspésie et à Matane.

En 1946, Louisa, devenue Sœur Sainte-Alexandre-De-Jésus, prononçait ses vœux perpétuels. Elle œuvra plusieurs années dans la région de Québec, puis revint sur la Côte-Nord en 1965.

Sœur Louisa s’est occupée entre autres besognes, de l’enseignement de la liturgie en langue montagnaise.

Le Pape et les prêtres, dit sœur Louisa, « demandaient de prier dans notre propre langue (montagnaise) et c’est pour cette raison que j’ai composé une messe et des chants rythmés. J’ai traduit en montagnais tous les chants français. On les chante encore aujourd’hui. »

Parmi son implication, Sœur Louisa a déployé son zèle pastoral à visiter les malades, à leur apporter la communion, à rencontrer les jeunes et les adultes. Elle a été toujours bien accueillie dans les familles et très disponible pour ses frères et sœurs montagnais.

Sœur Louis Jourdain est décédée le 21 janvier 2008 et ses funérailles ont eu lieu à Québec.

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350e ANNIVERSAIRE DE LA PREMIÈRE MESSE
CÉLÉBRÉE PAR LE PÈRE JEAN DE QUEN – SEPT-ÎLES 2001
Auteur : GUSTAVE GAUVREAU

Hommage aux Congrégations Religieuses

Depuis son existence, Sept-Îles a connu l’arrivée de plusieurs congrégations religieuses tant des femmes que des hommes. Chacune de ces congrégations a œuvré dans les petits hôpitaux, les écoles élémentaires ainsi que dans les églises de la région.

Plusieurs se rappelleront des sentiments de reconnaissance qu’ils ont pu bénéficier pendant leur enfance de ses bienfaits en l’éducation, en soins hospitaliers ou en prières.

Encore aujourd’hui, tous peuvent dire qu’ils ont apprécié le travail et la présence de ces congrégations religieuses dans nos communautés.

En voici les noms et les années d’arrivées:

Communauté de Femmes
Les Filles de Jésus de Kermaria (1903)
Les Sœurs de L’Enfant-Jésus de Chauffailles (1912)
Les Petites Franciscaines de Marie (1924)
Les Sœurs de Saint-Paul de Chartres (1950)
Les Sœurs de Notre-Dame Auxiliatrice (1952)
Les Sœurs de Sainte-Famille de Bordeaux (1957)
Les Sœurs du Bon Pasteur (1965)
Les Sœurs du Saint-Nom de Jésus-Marie (1972)
Les Sœurs de Charité de Québec (1973)
Les Sœurs Marie-Réparatrice (1975)
Les Sœurs de Notre-Dame du Saint-Rosaire (1976)
Les Sœurs de l’Assomption de la Sainte-Vierge (1976)
Les Filles de la Sagesse (1978)
Les Sœurs de la Congrégation Notre-Dame (1978)

Communauté d’Hommes
Les Pères Jésuites (1651)
Les Pères Oblats (1845)
Les Pères Eudistes (1903)
Les Clercs de Saint-Viateur (1952)
Les Oblats Missionnaires de Marie-Immaculée (1958)
Les Frères de l’Instruction Chrétienne (1976)
Les Frères des Écoles Chrétiennes (1980)

Institut séculier
Les Oblates Missionnaires de Marie-Immaculée (???)

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350e ANNIVERSAIRE DE LA PREMIÈRE MESSE
CÉLÉBRÉE PAR LE PÈRE JEAN DE QUEN – AOÛT 2001

 

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